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Tale me more - Page 108

  • Un spoiler se cache par ici...

    picmol_pernusch.jpegLe destin de madame Picmol, Claudie Pernusch

    Troisième livre du pack « sourire ». Erreur d'aiguillage.

    Un roman brillant, qui fait (des)honneur au métier de l'héroïne: concierge. Quel hommage! Une mémère à son chien-chien, qui parle aussi bien français qu'une vache moldave (Je respecte les vaches moldaves ne vous y trompez pas. Je les respecte. Je les vénère même. J'aime l'escalope de veau.) et comme c'est elle (Mme Picmol, pas la vache) qui parle durant tout le roman c'est insupportable.

    J'ai donc dilué cette lecture avec celle, distrayante, d'un catalogue de magasin de bricolage que je fréquente assidument, presque tous les jours, à 14h. Si vous me cherchez...

    Cette charmante dame vient d'hériter et utilise le pactole pour s'offrir un luxueux séjour en montagne. Elle quitte son chez-elle ...

    Je l'envie. Il se trouve que je suis phase de déménagement imminent pour une maison que je n'aime pas. Je boycott pour l'instant toilettes et salle de bain. Mais ça ne pourra durer infiniment. Comble de l'horreur, la pièce qui va devenir ma bibliothèque en est encore au stade du placo pour les murs, du rien du tout pour le sol.

    J'en profite pour vous faire profiter de mon expérience récente en matière de joints de carrelage. Soit, d'un côté, de la poudre grise. Soit, de l'autre, un espace de quelques millimètres entre les carreaux, qui sert de circuit de course aux araignées (Pour une raison qui m'échappe, celui qui a posé cela, par endroit, s'est arrêté de carreler à 15 bons cm du mur... Les stands pour changer de pattes d'araignées?). Emettons l'hypothèse qu'avant de devenir un truc solide, la poudre doit passer par un état pâteux et collant. J'en déduis qu'il est préférable d'éviter d'utiliser pour le mortier le saladier offert par belle-maman. Par conséquent, je suis em.....dé car je n'ai pas d'auge. Il faudra attendre le lendemain une énième visite chez Brico Dépôt.

    Madame Picmol, elle, se repose, elle n'a que cela à faire. Se reposer, faire les magasins et regarder « les riches » pour imiter leurs manières.

    L'imitation, c'est la clé du succès. Quand vous n'avez jamais vu personne faire... il faut improviser. Quand le mortier montre des signes forts d'attachement, refuse que vous l'abandonniez au fond d'un trou et s'accroche à ce qui vous sert de truelle, ajoutez de l'eau.

    Bonus: doser 0,275L précisément à l'aide d'une bouteille de Taillefine-fraise, c'est excellent pour les devoirs de vacances des gosses.

    Madame Picmol, elle, n'a pas ce problème, elle se fait servir. Restau matin-midi-soir. C'est donc en mangeant qu'elle va rencontrer un homme. Mais, désespoir, cet homme n'est pas du même milieu, il a manoir et … manoir. C'est déjà bien. La malheureuse concierge refuse de se bercer d'illusions.

    Pas moi. Je trouve le résultat satisfaisant pour un premier essai. Même si je vois bien qu'Amour aurait voulu que je m'aperçoive au début qu'un second sachet traînait dans le garage, d'une couleur qui lui convenait mieux... Je me suis beaucoup amusée. Je me sens prête pour le parquet de ma bibliothèque. Après l'enduit. Après le ponçage. La sous-couche. La peinture... Je déménage dans ... 3 jours... Et il n'y a pas encore l'électricité. Hihi.

    Le livre, lui, n'était pas drôle du tout. En plus à la fin, son prince charmant est mort et elle épouse un gars qu'elle n'aime pas! ( Voilà. J'avais prévenu, faut lire les titres.)

     

    P.S. Aucun animal n'a été maltraité dans le cadre de cette chronique à l'exception d'une éponge. On a bien tenté de me faire croire qu'une éponge est un animal marin. Mais je n'ai jamais vu de poisson avec un côté vert qui gratte.

    P.P.S Cette fiche bricolage est sponsorisée par le Brico Dépôt local, qui ne le sait pas encore mais laissez un max de commentaires, j'aurais p'têt une boîte à onglets gratos (c'est mon besoin du moment. J'ai des désirs très mesurés).

  • Une femme glaçon... et je flirte avec le Titanic.

    Lecture dans le cadre du challenge Jonathan Coe.

    Pin – Pon . Sirène deux-tons! Pour les urgences! Car trois-tons, ce n'est pas prioritaire et un seul thon c'est pour la salade du dîner. (thon... sirène... quand vous lirez les lignes ci-dessous, vous comprendrez l'intérêt vital de mes blagues pourries).

    Les puristes parmi vous crieront au resquillage! C'est quoi ce bouquin qui grille 13 commentaires en retard pour se glisser ici moins de 24h après la fin de sa lecture?

    Les optimistes s'écriront: ce doit être un chef-d'oeuvre!
    ... heu... on en reparle en bas de page, d'accord?

    Cause pragmatique: je suis en retard sur la date. Qui n'est qu'indicative, je sais, je sais... (Sinon, Myrddin va se sentir coupable d'avoir activé mon Toc.)

    Femme_de_hasard_coe.jpgLa femme de hasard, Jonathan Coe

    Maria est une jeune fille, étudiante anglaise qui quitte le lycée pour entrer à l'université. Elle éconduit régulièrement Ronny, son malheureux soupirant et envie la vie simple de son chat.

    Maria n'est pas une joyeuse personne, c'est le moins qu'on puisse dire. Neutre et apathique devant tout, elle peine à nouer des relations sociales. Ne voit aucune raison de s'extasier, ni d'être heureuse. Et ne l'est jamais, ce qui est assez logique finalement.

    « Vous savez canaliser votre exubérance juvénile entre les berges paisibles de l'intellect, dans la contemplation passive des grandes oeuvres de l'art et de la littérature. Vous êtes placide, imperturbable. »

    Le style est remarquable, j'ai accroché tout de suite. Beaucoup d'humour. Souvent pince-sans-rire. J'ai adoré le personnage de Charlotte, la bavarde, et son obsession pour les messages transmis par le regard. Vraiment drôle. Il y a aussi cette manière d'interpeller familièrement le lecteur qui n'est pas désagréable. Cette écriture est un perpétuel jeu sur les mots ou sur les codes de la littérature.

    « Il trouvait que tu avais laissé entendre qu'il avait donné l'impression d'avoir pensé que tu étais désagréable ».

    « Des petits gestes, Maria, des petits détails qui désarment les hommes et les mettent à notre merci. Ces gestes étaient en l'occurrence, par ordre croissant d'efficacité, le battement de cils, le croisement de jambes, et la succion du pénis ».

    Un passage en particulier m'a fait réfléchir, une devinette qui parlait de l'orgueil. Je me suis aperçue que ce que je plaçais sous le terme « égoïsme » relevait souvent plutôt de l'orgueil. Dans le roman, orgueil de Maria qui ne veut pas montrer au jeune homme qu'elle l'attend. Je suis un peu comme ça aussi parfois.

    J'ai donc aimé beaucoup de choses. Mais. Mais...

    J'ai dévoré le livre en une journée, rapidement convaincue qu'il me serait impossible de le reprendre le lendemain tant la lecture sans être aucunement triste, était démoralisante.

    C'est un récit sur le bonheur. Ou l'absence de bonheur? Je ne sais pas trop... Ou sur l'incapacité au bonheur? Mais s'agit-il de nous dire que Maria est malheureuse car elle ne fait rien pour l'éviter? Je penche pour cette hypothèse, ayant personnellement des idées très arrêtées sur ce qui me rend heureuse, même quand c'est trop haut pour moi et sur la nécessité de ne jamais lâcher prise.

    Mais c'est un bouquin qui donne envie de lâcher prise, d'abandonner, de sombrer... S'agit-il alors de nous montrer que le bonheur est forcément artificiel? Que Maria n'est pas heureuse... mais consciemment? Car le romancier n'est pas tendre non plus pour les autres personnages. Leur sort semble plus enviable mais sonne si creux, si niais...

    Maria n'est pas aimée. Elle n'est pas aimable, il faut dire. Je la compare à moi. Je me dis que je ne suis quand même pas... si ennuyeuse. Si atone. On a envie de la secouer. Pourtant elle tombe amoureuse... Acte manqué. Suis-je aussi indifférente qu'elle? Aussi chiante? Aussi exigeante avec mes semblables au point de ne jamais considérer personne digne de moi?

    J'ai envie de répondre non. Pourtant, je ne suis pas plus entourée...

    On m'a dit un jour qu'il ne fallait jamais s'interroger sur le fait d'être heureux ou non.

    C'est comme pour la beauté, pensais-je alors, une question que l'on ne se pose que quand on est moche. Me suis alors sentie moche du bonheur.

    Mouaip. Au moins, je suis sûre que les autres romans ne peuvent pas être sur le même ton. Il ne survivrait plus aucun lecteur.

    ... (soupir)

    Déprimant ce bouquin.

    ...

    challenge_lecture_masques.jpgC'est là que moi, en urgence et en pleurs, je retourne lire mes conneries sur le deux-thons. Je valide pour la peine mon challenge A vos masques, « chagrin ». Je n'ai pas versé une larme à la lecture, c'est vrai, mais je suis traumatisée depuis et rien que d'y repenser ou d'en parler je fonds en larmes, alors ça compte. Point.

    Chagrin 1/2.

    Allez Jo'. Au suivant! Ce sera Une touche d'amour. Une tartine entière serait bienvenue.

  • Entre filles

    prince_charmant_hochberg.jpgCe crétin de prince charmant, Agathe Hochberg

    Hideuse couverture!!

    Pack 2, livre 2, avec le décalage, je commence à m'y perdre... En voici un qui n'a pas fait mentir son étiquette « Sourire ». Un roman chick lit comme je les aime de temps en temps. Pas le meilleur (Ahlàlà, Samantha, bonne à rien faire... Fous rires mémorables.) mais sympa quand même.

    Le seul point noir, c'est la structure du récit. A moitié échange de correspondance mail entre deux jeunes femmes trentenaires qui se sont rencontrées à un mariage et ont eu un coup de foudre amical. A moitié récit "classique" autour des divers protagonistes. Assez bordélique.

    Pas d'histoire à proprement parler, plutôt deux tranches de vie, celle d'Ariane, mariée, heureuse peut-être, avec un mari grand voyageur qui la laisse relativement libre et celle de Justine, américaine célibataire.

    En bon exemple de littérature de fille, c'est l'occasion pour l'auteur de croquer avec humour les petits travers féminins, les espoirs, les déceptions. Les histoires de mecs, de copines... Et blablabla. Voilà pour les filles.

    D'autres plaisirs pour moi!

    D'abord l'humour, qui touche une corde sensible: j'ai un faible pour les histoires de frigo.

    « Je réussis à sombrer en me demandant pourquoi il y a une lumière dans les frigos mais pas dans les congélateurs ».

    Profond, non? ça me plonge dans des abîmes de joyeuses réflexions... Si, vraiment. Je craque pour les questions débiles comme celles-ci.

    Et puis, il y a les pages étymologie, comme celle-ci, sur le prénom Ariane:

    « P.S. Mon nom signifie  « montagne blanche ». J'en conclus que:

    a. : c'est normal que mon chemin soit plein d'obstacles;

    b. : je devrais peut-être réessayer le ski;

    c. : Je ne devrais jamais hésiter à commander un supplément Chantilly »

     

    J'ai aimé aussi les moments plus sérieux, ceux qui ont trait à la construction d'une amitié. Les premiers messages, la fébrilité, la joie de s'écrire. Le sentiment de se connaître si bien et si rapidement. L'impatience de retourner au clavier.

    « C'est comme mes rencards : quand j'y vais maintenant je passe la moitié du temps à me demander comment je vais te décrire la soirée. »

    La retenue devant le caractère « virtuel » (elles ne se sont pas revues depuis le mariage). Le trac au moment du rendez-vous de ne plus savoir quoi se dire, après...

    C'était tellement intense et bien décrit, la façon dont Ariane et Justine se prennent d'affection qu'à un moment, perplexe, je me suis demandée si elles n'allaient pas finir ensemble. Mais non. Il est vrai qu'amour et amitié, comme le roman le souligne, sont deux sentiments qu'il est parfois difficile (et inutile?) de distinguer.

    Enfin, quelques réflexions sur les relations de couple sonnaient assez justes.

    J'ai retenu celle-ci - qui n'était pas la plus percutante.

    « Si je reste sur la route que j'ai choisie, aucun début ne m'attend ».

    Je conseille! Comme je conseille n'importe quel roman léger de ce genre, au moins une fois par an. En lecture comme en amour, on ne peut pas être toujours sérieuse, sous peine de vieillir prématurément, d'ennui et de regret.

    A nos amours!

  • Dis, chéri, tu me trouves grosse?

    J'ai remis ça! Mon second pack vacances! (pour ceux qui ne suivent pas tssss.... c'est ici que ça s'explique) .

    Pas de kamikazerie cette fois, du solide, avec un paquet intitulé « Sourire ». Une occasion rêvée de faire avancer, pensais-je, ce fichu challenge « A vos masques » qui est au point mort.

    Pas de photo dans celui-ci, quelle déception! Quoi qu'il en soit, j'étais bien décidée à lire le tout en moins d'une semaine pour aller en chercher un dernier avant la fin des prêts au 31 juillet. (C'est fait! « Aventure »).

    Dans le paquet, quatre livres, (dont un déjà lu) et aucun coup de coeur. On attaque quand même?

     

    mysterieuses_grossesses_revault.jpgMystérieuses grossesses dans un petit village de la Sarthe, Jean-Yves Revault

    En cherchant un visuel pour le blog, je viens de m'apercevoir que ce livre se décline en versions « locales » : … petit village de l'Anjou, ...petit village de Vendée. Mais le texte semble identique.

    C'est bâti sous forme d'enquête.

    « Le premier polar sans morts... ce serait même plutôt l'inverse ! »

    Années 50. Le médecin du village tente de comprendre pourquoi toutes les femmes pubères de la ville sont enceintes... du même jour!

    Y compris les très jeunes, les célibataires, les vieilles moches. Et celles que leurs maris n'approchent plus guère qu'au 14 juillet.

    C'est écrit pour être drôle... La vieille bagnole personnifiée. Les relations du doc' avec le curé du coin - très pragmatique ce curé pas très catholique. Quelques histoires de sous-vêtements.

    J'ai souri, j'avoue. Mais pas plus. Roman très court. Bon moment. Bonne lecture à ceux qui se laisseront tenter!

  • Tu caches quoi sous ta serviette?

    Je prends un épouvantable retard dans mes chroniques! Quelques préoccupations domestiques mineures dont vous ne tarderez pas à m'entendre parler!

    J'ai terminé depuis une semaine le 2e pack vacances (4 livres!) et je vous écris ça dans les prochains jours. Le dernier pack pour cette année vient d'être ouvert. Trois pavés. Nous voilà bien.

    En attendant, une promesse est une promesse: voici venue l'heure de vous soumettre l'enquête d'été du Dr Sound et de son assistant.

    Sous les serviettes de plage piscine des vacanciers!

    Rien de lubrique là dedans (tellement pas mon genre, hein?). On est homme de science jusqu'au fond des piscines de Savoie ou on ne l'est pas! Une question travaillait depuis des semaines le doc' Sound: mais que lisent donc les estivants qui ne vont pas à la mer (car c'est bien connu, il existe une littérature de plage) et grimpent dans les montagnes?

    Comme rien ne nous effraie à Tale me more, nous avons entrepris de reluquer sans aucune discrétion chez les uns et les autres. Le doc étant myope comme une taupe, un assistant, très enthousiaste, s'est révélé nécessaire pour gérer les cas difficiles (= distants de plus de 20cm. Et comme il est délicat de s'allonger sur la serviette d'un inconnu et de prendre son livre... Un assistant à plein temps. Tout l'art est de savoir déléguer. Il me reste quand même à écrire le compte-rendu!).

    Pour que la parfaite connaissance des habitudes de lecture des autres homo sapiens, remède à l'efficacité prouvée contre les complexes littéraires, puisse profiter à tous, nous dévoilons en exclusivité quelques-unes de nos méthodes d'approche dignes d'un commando des forces spéciales.

    . L' Encyclopédique: reconnaître de loin les couvertures des livres et auteurs à la mode. Difficile encore cette année? Talememore est là pour ça. Travaillez plus, pour récolter plus l'année prochaine!

    Méthode qui prive malheureusement d'une bonne partie du frisson de la chasse.

    . Le Saute-mouton: consiste à changer fréquemment de fauteuil de piscine, prétendument pour passer du soleil à l'ombre ou vice versa, mais toujours en venant se placer à côté d'un lecteur ou d'une lectrice.

    . Le Vous-habitez-chez-vos-parents: Méthode directe qui consiste à demander poliment à votre voisin ce qu'il lit et si c'est intéressant. Réservé aux bilingues accomplis et à ceux qui ne connaissent pas la timidité. Vous comprendrez pourquoi cette technique n'a pas été testée par notre équipe.

    . Le Tour de chauffe: variante du saute-mouton, mais qui ne fonctionne qu'une fois par jour, à l'arrivée. Faire deux fois le tour de la piscine avant de se poser quelque part. Inconvénient: regard en biais et marche lente ne compensent pas l'obligation de saisir les titres à la volée. Inefficace pour les titres en néerlandais.

    . Le Je-ne-sais-pas-nager: méthode simple si vous ne craignez pas qu'une âme charitable vienne vous prêter les brassards orange fluo de son gamin. Longer le bassin en restant fermement accroché au bord et faire de fréquentes pauses respiration en face de chaque bouquin. Position idéale quand un lecteur stupide n'a pas sa main en plein sur le titre. Eviter les regards trop insistants qui dans cette position pourraient prêter à confusion. L'idéal: une petite conversation avec votre assistant, l'un dos au lecteur, l'autre de face. Pour les malins: de face, celui des deux qui voit clair.

    Astuces finales (c'est là qu'intervient le talent): Disposer d'une solide mémoire car ne faire qu'entrer et sortir de l'eau attirerait par trop l'attention. Veiller à la posture lors du retour à la serviette afin d'éviter de s'égoutter sur le calepin et d'effacer ainsi le butin.

     

    Enfin... les résultats!

    La palme sans conteste et sans surprise à Twilight, tube littéraire de l'été, dans toutes les langues, avec un léger avantage pour le tome 3, sortie ciné oblige.

    Ensuite viennent les thrillers/policiers:

    Code to zero (Code zéro), Ken Follett

    Le complot Machiavel , Allan Folsom

    Sluipschutter, Lee Child. Version néerlandaise de... ?

    Un classique, quand même, pour une jeune fille:

    Les hauts de Hurle-Vent, Emilie Brontë

    Les plus sérieux (100% d'hommes, si si, soyons honnête, il faut le dire) se tournent vers:

    Emile, de Rousseau ou

    Gargantua, Rabelais

    Du contemporain:

    Half a Yellow Sun (L'autre moitié du soleil), Chimanada Ngozi Adichie, littérature africaine.

    The right attitude to rain (Une question d'attitude ), Alexander McCall Smith, troisième tome d'une série qui a l'air sympa.

    Quitter le monde, Douglas Kennedy

    Du léger, bien sûr:

    Karen McCombie. Je n'ai pas le titre mais ça avait l'air très léger.

    Le premier jour, Marc Lévy.

    L'accro au shopping, Kinsella – Presque aussi populaire que Twilight. Vu en toutes langues aussi.

    Pretty bad things, C.J. Skuse

    Mais aussi pas mal d'essais, biographies and co:

    Sniper one, Dan Mills.

    The reason for God, Timothy Keller

    La proie, Martine Ayotte une histoire de sévices sur une enfant. Génial pour les vacances.

    Alone in Berlin, Hans Fallada. Sur la résistance allemande contre le nazisme.

    Et des titres pas possibles, quel boulot pour les déchiffrer et les retenir!

    Are These My Basoomas I See Before Me? , Louise Rennison. Ce titre (et la couverture) sentait la litt pour filles à 200m voici la traduction française: Bouquet final en forme d'hilaritude. Une série, encore.

     

    A vous d'enquêter! Talememore propose à ses lecteurs de participer (je rappelle: savoir déléguer)

    Ici, les livres mystérieux, qu'aucune recherche ne nous permet encore d'identifier formellement:

    The Black Year, auteur ??

    Nelbo Frelseren … oui, c'est tout ce que j'ai... avec o barré dans nelbo et petit rond au dessus du e que je ne sais pas taper... Titre ou auteur? Pfff... je vais pas vous aider quand même.

    Zo god? Ou 20 god? Ou autre... là c'est l'écriture de l'assistant... je ne peux rien faire...

    Sandor Marai (hongrois) et Jodi Picoult. Ceux-là, je n'ai que l'auteur... Devinez les titres vus au bord de ma piscine! Sachant que je ne me souviens plus des couvertures...