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  • Suivi Read-a-thon

    READ-A-THON 2011

    Départ samedi 10 h  -  Fin dimanche 10h

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    FINI 252 / 252 pages  178 / 1171 pages FINI - 72 / 72 pages 0 / 561 pages

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    FINI 78 / 78 pages 353 / 452 pages  FINI 180 /180 pages FINI 172 / 172
     

    lillian_hellman_children_s_hour.jpg

     

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    FINI 90/ 90 pages

     0 / 464 pages  0 / 498 pages 0/ 61

     

    TOTAL pages lues: 1375

    Livres terminés :    6 /12

     

    1 ere LECTURE tournante (3 fois 20mn) :  Autant en emporte le vent / Peter Pan / Le songe d'une nuit d'été.


    2e:
    Autant en emporte le vent / Peter Pan / Another part of the forest (vo)

    3e : Antant en emporte le vent/ Another part ogf the forest / Des fleurs pour Algernon

    4e :  XXX 17 et 18 et Journal d'un chat...

    5e: Retour à Algernon


     

    Les liens pour suivre les copains / copines: Liz - Tiboux - Audrey - Basset - Everbook - Morgouille -

     

    P'tits mots de Sound en cours d'épreuve...

    Avant le départ: La P.A.L est déjà prête depuis 2 jours. Pile de marque-pages ok. Papier et crayons ok. Livres triple ok.

    Demain (vendredi) faire les courses en speed avant de sortir fêter avec Amour notre quatrième anniversaire de rencontre. Je vais être dans un chouette état, moi, samedi matin :)

    10h: Top départ et le blog est.... en panne... Heureusement que les livres sont là, en chair et en os. :)

    12h : Autant en emporte le vent n'avance pas (50 pages à midi) mais les 3 lectures sont agréables. Je suis surprise par Peter Pan, je ne m'attendait à quelque chose d'aussi... ironique. Je suis satisfaite de mon choix pour l'instant.  Pause déjeuner!

    13h: Premier changement, j'ai terminé Le songe d'une nuit d'été. Je remplace cette pièce par une autre, en anglais cette fois. (et je sors le dico ...)

    15h: Le temps passe vite. J'ai encore faim...
    Je pense que je vais sortir faire un petit tour et profiter du soleil. Avec un livre, bien entendu!!

    16h pile: De retour de promenade. J'ai lu 20 pages d'Autant... ça se confirme, 20 pages à l'heure... Je vais devoir prolonger mon enprunt à la médiathèque... Je me prépare une grosse assiette de tomates concombre et vinaigre puis je reprends la lecture tournante.

    19h40: J'ai terminé Peter Pan. En un mot: effrayant. Je le remplace à présent par Des fleurs pour Algernon.

    22h : La télé tourne, alors j'ai abandonné pour l'instant les autres livres et me suis fixée sur Des fleurs pour Algernon.  Premiers signes de fatigue. J'ai fait le plein de jus de fruits.

    1h30: Je suis déjà morte de sommeil... Rien à la télé, mais je sens que si je l'éteins, je suis foutue! Je ne respecte plus avec autant de soin les horaires pour faire tourner les livres. Et je sens qu'il ne sera bientôt plus question de lire en anglais, d'autant que la pièce n'a rien pour me séduire.

    4h20: 3e livre terminé, celui en anglais. Je laisse Scarlett à ses lamentations et je vais me plonger dans les manga. J'ai un tout petit peu moins sommeil. S'il ne faisait pas si froid, je m'aventurerais même dans la cuisine pour me faire un thé. Est-ce que le plus dur est passé? 
    Mes jolies piles de livres bien ordonnées ne sont plus qu'un ancien souvenir... Sans compter ceux qui se sont jetés du haut du dossier du canapé dans un grand "boum" à réveiller toute la maison...

    10h: Fin!! Ouf! Je suis là, mais peu après 7h, je me suis écroulée pour ne me réveiller que 2h plus tard. Résultat, je n'ai pas fini des Fleurs pour Algernon. Je vais finir maintenant, ça compensera ma petite sieste.

    Bravo à tous les participants!

  • 24h chrono

    logo_410.jpgIl n'est pas question ici de courir après de dangereux terroristes, mais bien de rester 24h dans mon canapé, ou presque:  me voici inscrite à l'édition 2011 du read-a-thon. Pour ceux qui auraient manqué ma première tentative, le bilan de l'expérience est ICI.

    Rappel du concept: tous les participants se retrouvent samedi 22 à 10h du matin, commencent à lire et ne s'arrêtent (hors pauses indispensables) que le lendemain matin à 10h. Il existe des départs pour seulement 12h (voir sur le site de l'oranisatrice, Tiboux).

    Je suis moins en forme que l'année dernière, mais je m'en serais voulue de m'en tenir à la moitié du défi.

    Ma P.A.L spéciale read-o-thon est en cours de préparation. Je me suis aperçue que j'avais un retard énorme (pas commencé en fait...) dans le challenge lecture jeunesse.
    J'ai donc sélectionné:

    Peter Pan, Des fleurs pour Algernon et Journal d'un chat assassin. 

    J'ai aussi pensé que c'était l'occasion ou jamais de me lancer dans Autant en emporte le vent, quitte à n'en lire qu'un quart, ce sera toujours ça de pris.

    J'ajoute Le songe d'un nuit d'été et peut-être une pièce en anglais (Another part of the forest), si j'en ai le courage.

    J'ai aussi acheté la suite de la voix du couteau, Le cercle et la flèche.

    Et je dois lire le dernier titre issu du tirage de la P.A.Léatoire, Chien Jaune.

    Sans oublier La maison du sommeil, pour faire plaisir à Anou et avancer d'un cran dans mon parcours Jonathan Coe.

    Ah! J'oubliais qu'avant tout ça, il me reste plus de la moitié de la Trilogie New-Yorkaise à finir...

    En dessert, peut-être les tomes 17 et 18 de XXXholics?

     

    logo_310.jpgVous avez bien compté, cela fait en tout 12 livres... dont les deux tiers dépassent les 300 pages.

    Il semble mathématiquement impossible d'en terminer plus de 5 pendant le read-a-thon, tant pis... Je préfère voir large! Je les finirai plus tard (car bien sûr, je vais organiser à nouveau une lecture tournante!)

    P.S. Dernière minute:  On me demande d'en profiter pour lire la poétique d'Aristote... bah, pourquoi pas... Hop, sur la pile (si je le trouve à la médiathèque).

    13 c'est un chiffre porte-bonheur.

  • Du sang, du sang!

    jusqu'à la folie,jesse kellerman,thriller si on veut,roman de gare si on a du gout,médical,psychatrie mal traitée,sadisme,masochisme,sang,femme fatale,un roman de mec pour des lecteurs pas regardantJusqu'à la folie, Jesse Kellerman

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    Ou comment fabriquer un thriller (appellation discutable) écolo, 100% recyclage. Un peu de séries américaines. Les bons vieux trucs et astuces qui marchent toujours (du sexe et du sang) et on ne creuse pas trop les personnages, histoire de pas toucher le fond.

    ______________________

    Un partenariat Livraddict, je remercie une nouvelle fois les admins de me faire confiance, puisque je suis toujours trèèès très juste pour rendre ma copie!! A savoir, aujourd'hui pour... aujourd'hui dernier délai.

    J'avais depuis longtemps l'intention de lire "les visages" du même auteur. S'il est du même genre que celui-ci, sans doute vais-je attendre encore un peu... La couverture (qui compte beaucoup comme première impression) est hideuse, j'ai tout de suite pensé en la voyant à  cette merveilleuse série qui a bercé toute mon enfance: Les feux de l'amour!    Ah... Victor et Nicky... Nous avons chanté le générique en choeur à la maison toute la soirée.

    Je m'égare dans mes souvenirs. 1ère impression, donc: Hic.

    2e impression: hoc.  Jonah est un héros. Etudiant débutant en médecine, il sauve un soir une jeune fille qui se fait agresser dans une ruelle sombre brrrr. Là où je tique, c'est que la donzelle, reconnaissante, vient le trouver à la sortie du travail peu après et illico presto, sans même faire connaissance, s'empresse de lui prouver sa gratitude en plongeant vers son pantalon.

    Bon. C'est un homme qui écrit. La fellation, pour les hommes, ça doit être comme se recoiffer avant de sortir pour les femmes: une obsession. Soit. (Pas sûre que ma comparaison tienne... combien d'hommes vous recoiffent pour marquer leur reconnaissance?)

    J'étais déjà passablement énervée (un peu à tort je le reconnais puisque nous ne tardons guère à découvrir que la nana est complètement dingue... Tout s'explique.) et ce qui a suivi n'a fait qu'empirer les choses:

    1°) La copie d'Urgences. De la série bien connue. Ou Grey's anatomy, génération suivante. Les pages qui traitent des tribulations de Jonah médecin novice sont gentillettes... Mais à aucun moment ce "fil" conducteur ne rejoint l'intrigue principale... Ah si! Quand la nymphomane vient coucher avec lui DANS un scanner. Oui, vous avez bien lu... No comment. (la scène, pour d'autres raisons que je n'ose spoiler bien que ça me démange, est dégueulasse)

    2°) C'est un peu facile, de jouer sur le sado-masochisme, le sexe, le sang, la femme dangereuse et autres sujets croustillants, sans délicatesse, sans creuser.

    3°) Figurez-vous que l'héroïsme de Jonah est remis en question, qu'il est même accusé de (BIP) par (BIP) ... Mais là encore, l'affaire judiciaire que j'imaginais se développer ensuite tourne en eau de boudin et coule dans quelque obscur caniveau... Dommage.

    4°) Hannah. Merveilleux portrait, pour le coup, de l'ex petite amie de Jonah, schizophrène! Quelques pages sont réellement émouvantes. Et ce sujet là n'est pas sans rapport avec le coeur du récit... Mais à la toute fin seulement. Re dommage.

    5°) Parlons-en de la fin justement... C'est se moquer du monde! Bâclée, décevante... Les mots me manquent! Un bouquet final qui fait juste un petit "plop" et c'est plié.

    Conclusion: Un trop plein d'éléments hétéroclites, qui ne trouvent jamais à s'accorder. Le roman part dans tous les sens et gâche quelques bonnes idées. L'écriture? Rien à en dire. Plate.

     

    Bonus: Il en faut un pour compenser! Et comme ce roman est si peu original qu'il évoque forcément des tas de meilleurs livres, une fois n'est pas coutume je livre deux pistes de lecture:

    - Pour découvrir une femme manipulatrice et sans doute dangereuse pour l'homme qui la croise, mais bien plus complexe que celle-ci, je conseille le classique Manon Lescaut de l'abbé Prévost.

    - Dans le même genre que Jusqu'à la folie, j'ai lu dans le cadre d'un autre partenariat le bien meilleur Comme ton ombre d'E. Haynes.  (en inversant le rapport homme/femme)  Celui-ci est réussi! L'article est là.

  • Son et lumière

    les sorcières de Salem, arthur miller, théâtre, litt us, tragédie, farce, hystérie, scène mélo au possible, roulage de filles par terre, dans à poil dans la forêt, injustice, accusations non fondée, snif snif, ô mon dieu l'esprit d'A. Miller est là dans mon salon, il vient me punir de m'être moquée de son texteLes sorcières de Salem, Arthur Miller (plus ou moins)

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    Avis chrono'

    Un grand classique de la littérature américaine. J'ai beaucoup aimé, pour de mauvaises raisons: j'ai trouvé ça complètement délirant, grandiloquent, mélodramatique... J'ai beaucoup ri! Il paraît que Miller voulait remettre au goût du jour le grand héros mâle tragique. Soit. Je ne rigole pas autant avec Racine, c'est vrai.

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    Le titre sonnait agréablement familier à mes oreilles, j'ai donc été plutôt surprise de m'apercevoir que non, en fin de compte, je ne connaissais pas le contenu de la pièce, inspirée de faits réels:  Dans une petite ville, une poignée de gamines se font toper en train de danser à poil dans la forêt et se prétendent possédées par sorcellerie...

    A partir de là, la machine judiciaire d'un petit village puritain s'emballe. Le révérend est un imbécile arriviste, les juges sont d'une crédulité rare et les jeunes filles, menées par celle qui a le plus intérêt à perdre la réputation des autres, sont tellement pures et innocentes qu'on ne peut que les croire sur parole.

    Les arrestations arbitraires se multiplient, on use de la torture pour faire avouer les récalcitrants et ceux qui n'ont rien à avouer sont d'autant plus suspects et donc, manipulés par le malin: hop, à la potence.

    Il y a, en effet, de la tragédie dans cette horrible progression d'une justice inique. Ou plus précisément, une justice qui pense tellement à l'image qu'elle donne d'elle-même que quand le doute s'insinue, tous conspirent à l'étouffer. En celà, la pièce est efficace, à qui est-ce que ça ne parle pas, cette crainte d'être accusé à tort et conduit à la mort par la faute d'une méchante gamine? Ce petit frisson de peur que l'on repousse en se disant que de nos jours, non, ça ne pourrait plus arriver... Que c'est absurde de devoir avouer un crime que l'on a pas commis pour sauver sa peau.

    Pär contre: bondieuseries diverses, propos apocalyptiques, déchaînement du ciel et de l'enfer, auto-strangulation, grande scène de possession durant laquelle toutes les jeunes filles se mettent à répéter les paroles de la meneuse, en coeur, avant d'entrer en transe... A cet endroit s'arrête mon adhésion à la petite tragédie décrite ci-dessus. L'hystérie collective, lue comme ça, ce n'est pas efficace. J'ai brusquement eu l'impression de lire une farce. J'ai tellement ri parfois que j'en avais les larmes aux yeux.

    Je m'en suis voulue, d'autant que quand Miller écrit sa pièce, en 1952, la chasse aux sorcières est à nouveau d'actualité... L'allusion à la traque des communistes est on ne peut plus claire.

    Cependant... cependant, je reconnais que peut-être c'est là un de ces textes qui ne prennent de l'ampleur que sur scène. C'est bien possible. Correctement joué, ces pauvres filles manipulées, ces malheureux qui se succèdent au tribunal... ça pourrait avoir de la gueule... Joker!  J'attends de voir, un jour, peut-être.

    Un dernier mot sur le grand héros mâle, John Proctor, qui se dresse, seul, contre l'ensemble de ce système injuste et après avoir plusieurs fois pleurniché sur ses péchés (il a couché - alors qu'il est marié - avec la jeune fille qui a lancé toute l'histoire, celle qui se roule par terre au tribunal en hurlant qu'elle voit des esprits) ne sait s'il doit mourir en sauvant son honneur ou avouer... Lui, il vaut son pesant de cacahuètes... Tssss... N'importe quoi...

    J'ai quelque chose à avouer, moi aussi: au moment de prendre le livre à la bibli, je n'ai pas eu le choix de l'édition. J'avais déjà fini ma lecture lorsque, échangeant mes impressions avec une amie, je me suis aperçue que son texte était dix plus mélo que le mien. Là où moi j'avais de sobres apitoiements, elle en avait le double de longueur en pleurs, en arrachage de cheveux et même, à la fin de son texte les femmes s'évanouissent aux pieds du héros et l'une pleure à genoux en mouillant la main de John de ses larmes >< 

    Quand je pense que je trouvais déjà ma version un peu ridicule...

    N'empêche, après vérification, j'ai vu (enfin) que mon livre était une "adaptation par M. Aymé"... J'ai été profondément choquée (de ma bêtise, d'abord!). Je déteste les adaptations, les textes tronqués, manipulés, etc. L'idée d'avoir lu une pièce qui n'était pas du tout proche de l'originale... Je l'ai lue sans l'avoir lue, en fait... J'en suis encore perturbée et je sens que je ne serai apaisée qu'après avoir relu une traduction fidèle.

  • Si c'est occis, j'y vais aussi !

    chanson de roland, moyen age, français, 5eLa chanson de Roland - ?

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    Attention, patrimoine!

    Un classique médiéval au programme des classes de 5e. Sound' très prise par sa quatrième réunion en soirée, laisse pour cette fois la parole au lectorat désigné, se contentant seulement de transposer les témoignages recueillis en ancien français de la fin du Xxe siècle et de les remodeler (un peu).

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    Kevin: « Autant le dire tout de suite, cette chanson là ne sera pas le tube de l'année 2012. D'abord elle est trop longue, chanson à texte, bon... ok, mais là avec toutes ces pages, elle dépasse sûrement les 4mn (Il explique ensuite qu'il n'a pas pu vérifier, impossible de trouver le titre sur Deezer).»

    Mélany: « ça manque de rythme, c'est flagrant, parfois on stagne sur le même détail pendant 10 ou 12 couplets, et vas-y que je te sors la cervelle par le menton... et regarde comme je suis un bon chevalier, loyal, valeureux etc. »

    Lilian: « Je me demande quand même si ce Roland a toute sa tête et si ça n'est pas un peu déplacé, en cette époque déjà lourde de tensions religieuses de crier sus aux sarrasins toutes les dix lignes... »

    Carlita: « Elle manque d'un petit refrain entraînant à mémoriser, cette chanson! Quant au vocabulaire, je n'en parle même pas, c'est carrément moyenâgeux ! «vassal »*, « félonie »**, «païens »***, « oliphant »****... comment voulez-vous toucher le grand public avec ça ? Pas une seule créature au déhanché langoureux en vue. Une bonne dose de testostérone quand même, je le concède. Je préconise d'embaucher l'équipe de france de Rugby pour le clip. »

    Sound:
    Tiens oui, c'est vrai... il n'y a presque que des hommes dans l'histoire... C'est peut-être la version «château fort» d'une romance gay? Je me disais bien aussi que Roland en faisait des tonnes à la mort d'Olivier. «Mon Dieu, je ne sais que faire maintenant. Jamais plus il n'y aura d'homme qui te vaille» et après il s'évanouit sur son cheval !

    «C'est en s'aimant comme ils le font qu'ils se sont séparés» (snif, snif...)

    Conclusion: c'est un plagiat de Brokeback Mountain, en armure! Tssss. Il passera pas à la postérité ce morceau! Déjà, s'il est sélectionné aux NRJ music award...

     

    Bonus culturistique:

    Extrait d'une interview de la candidate de télé-réalité (dont le nom doit être tenu secret) qui prépare une reprise  pour l'hiver 2012 :«  J'pouvé pa laissé des fotes comme sa dans la chansson à Roland.»   :   *vaissèle, ** fai au lit, ***pattin, ****éléfant.