Numéro 11, Jonathan Coe
J'ai gâché mon avant-dernier Jonathan Coe.
Je suis passée à côté, j'ai laissé filer les pages, vaguement remarqué que d'une partie à l'autre revenaient les mêmes personnages, à des époques différentes, ainsi que le numéro onze, comme un fil conducteur. Mais j'avais beau m’exhorter à un peu de concentration, je n'ai pas su tirer de la motivation de mon chapeau magique.
C'est un peu comme décrocher pendant une ennuyeuse conversation. On fait "oui, oui..." de temps en temps, mais le cœur est ailleurs. Et puis... pourquoi des monstres et pourquoi ces trucs bizarres ?
La satire n'était pas aussi plaisante que d'ordinaire, j'ai beau chercher il ne me reste quasi déjà aucun souvenir de ma lecture. Il est indéfinissable ce titre, je vais le classer avec les nains de la mort et ne plus y penser.