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La faim justifie les moyens

couverture-kressing-chef.jpgLe chef, Harry Kressing

Agréable amuse-gueule, ce roman qui a tout d'un conte même si je cherche encore pourquoi, depuis que j'y ai trouvé une bicyclette. Sans le vélo, on avait tous les ingrédients, un petit panel de personnages aux allures aristocratiques, partagés en deux familles à la rivalité étouffée par le temps, une temporalité floue, un château convoité et un très étrange cuisinier, autour duquel les choses s'arrangent et s'organisent pour servir ses plans.

Bien que prévisible, l'évolution de la situation est amusante, il n'y a que la fin qui m'a déçue, mais comme ça doit faire vingt ans que je n'ai pas aimé la fin d'un livre (je dis ça au hasard, pas une seule fin satisfaisante ne me vient à l'esprit ce soir) n'en parlons plus.

Mais ce vélo... ça ne va pas. Les héros des contes n'arrivent pas à vélo, j'en suis presque certaine, ça ne colle pas.

 

 

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